Bonjour,
Je possède ce pistolet de vénerie en cal 20 à clef Lefaucheux. Le canon comporte la mention “E. Gaillet à Viels Maisons”. Il porte aussi le n° 2 sur la basse inférieure, ce qui laisse supposer qu’il provient d’une paire.
J’ai pensé que cela pourrait intéresser. Il ressemble à certaines armes de Casimir, notamment dans le livre de G.Lautissier et M. Renonciat…
J’ai fait quelques recherches, j’ai trouvé l’armurier du XIXème sicle mentionné mais rien d’autre.
Si quelqu’un a des éléments d’information, je suis preneur.
Cordialement.
It’s a very nice looking one! I have a similar one.
Have you tried removing the barrel to see if there are any markings underneath?
Bonjour Aaron,
Merci beaucoup de cette réponse, il est vraiment identique.
Non, je n’ai pas démonté le canon pour voir s’il y avait des marquages. Guillaume me l’avait conseillé mais j’ai hésité afin de conserver l’intégrité de l’arme. Je ne sais donc pas.
Par contre je me demande s’il ne s’agit pas d’une paire. Sur le mien il y a le chiffre “1” gravé en dessous du bâti en avant du pontet. Est-ce que le tien possède un numéro? Ce serait formidable d’avoir ainsi la paire.
J’avais acheté cette arme à la bourse de Rungis il y a quelques années. J’ai identifié l’armurier qui l’a vendu mais n’ai pas trouvé d’autres renseignements.
Ci-joint photos complémentaires du dessous de l’arme.
A te lire,
Bien amicalement,
Jack
Salut Jack
peut être en ouvrant le canon et en regardant de biais tu verra un début de marquage
Bonsoir Guillaume,
Oui, j’y ai pensé, mais je ne vois rien. S’il y a un marquage il se trouve sous la longuesse qui solidarise le canon et la bascule du système. Elle est fixée par une vis guillochée que je n’ose dévisser. L’arme est à l’état quasi neuf, vis guillochées intactes, aucun jeu dans les pièces ni à la bascule ni aux platine, chien, détente; absolument aucune oxydation dans et sur le canon ni sur aucune pièce, le vernis de la crosse est pour moi d’origine, il est intact. Je n’ose faire autre chose que du nettoyage léger d’entretien et ensuite un peu d’huile d’arme. Il est même possible voire probable que ce pistolet n’est jamais tiré une seule cartouche. (Oui, je suis un maniaque de la propreté de mes armes…)
Antoine Victor Gaillet, né le 7 février 1805 à Venderay
Marié le 26 juin 1827 avec Louise Françoise Chevost à Neuilly Saint Front à cette époque il se déclare serrurier.
Mort le 1 avril 1855 à Viels Maisons, il est déclaré comme étant armurier .